Fañuritsoritaña :
J. Erenne;On sait maintenant à quelle source de poésie le séga va puiser... Pas de nombre, pas de rime, pas même d'assonance ; la marvanne bat les
temps forts et ça suffit...
A cette danse épileptique suffisaient quelques courtes paroles pour soutenir jusqu'à épuisement des forces les danseurs galvanisés par le
rythme implacable que martelait la marvanne.
C. Baissac